25 octobre 2022 à 07:00, mis à jour le 25 juillet 2024 à 04:52
On peut regarder ces portraits en secouant la tête. En se disant que les images sont fichues, juste bonnes pour la benne. Mais on peut aussi les observer avec une larme à l’œil, avec une tendresse particulière pour cette inéluctable gangrène qui les pourrit, pour cette mort poétique de la mémoire, après celle des corps.
Julia et René Genilloud-Saudan posaient devant...
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